Prédication du 06 mars 2022.

Prédication apportée par notre pasteur Clémence Bury.

 

*Prière

En ce début de temps du Carême, nous voulons nous interroger sur ce qui nous retient encore loin de Dieu ; nous voulons nous souvenir, comme les Israélites, de nos traversées du désert et par-dessus tout, nous voulons nous remémorer chacune des libérations dont nous avons fait l’objet de la part de Dieu : libération d’une dépendance, d’une addiction, d’un péché enfoui, d’une tentation qui nous faisait chuter, d’une relation néfaste, etc.

Dieu veut nous libérer parce qu’Il nous aime. Il veut nous purifier afin que nous célébrions Sa gloire. Dieu n’a pas changé. Il est intervenu hier et Il intervient encore, avec la même force. Soit l’on croit, soit l’on doute… de sa puissance.

C’est bien de cela qu’il est question dans ce texte et c’est d’une actualité alarmante pour nous chrétiens, pour l’Eglise et pour le monde.

*Lecture : Luc ch4; v1-13

Avec ce texte, nous sommes face à ce que l’on pourrait appeler la « théologie du doute », promue par Satan, qui dès le jardin d’Eden met en doute la parole de Dieu avec ce « Dieu a-t-il réellement dit ? ». Depuis, il ne cesse d’utiliser encore et toujours la même tactique, et ce qui est grave, c’est que même en tant que chrétiens nous pouvons sombrer dans cette sorte de théologie. Nous en avons la preuve tout autour de nous !

Il existe un vrai danger pour les églises de sombrer dans le relativisme, dans le rationalisme. Car la finesse de Satan est grande ! Il ne pousse nullement à renier Dieu et à devenir athée !! Il ne fait qu’insinuer que peut-être nous avons mal compris, ou que Dieu n’a pas vraiment dit cela, ou encore que nous pouvons et devons tout examiner à la lumière de la raison humaine, alors qu’au contraire, c’est à la lumière de la Parole de Dieu que nous devons tout examiner afin de ne retenir que ce qui est bon ! Nulle place pour la raison, puisque la sagesse de Dieu est folie pour les hommes. Comment pouvons-nous prétendre comprendre ou analyser Dieu ??

A la théologie du doute promue par Satan, il faut opposer la théologie de la foi à l’exemple de Christ.

Jésus dit à Marthe : « Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu », et à l’inverse de cela, Thomas s’écrie face à la foi des disciples : « Si je ne vois pas, je ne croirai pas ».

La foi doit se fonder sur la Parole de Dieu, être enracinée en elle et à tout instant s’y raccrocher. C’est ainsi que la foi est comptée comme justice (cf. Abraham, cf. Ro. 10).

La foi n’est pas logique, pas plus qu’elle n’est raisonnable. Croire, c’est espérer contre toute espérance. C’est l’exemple que nous montre le Seigneur : croire, espérer en se fondant sur la Parole de Dieu, même au cœur de l’épreuve, en face du Tentateur.

Le Père ayant, juste auparavant, exprimé qu’Il trouvait ses délices dans son Fils bien-aimé, Jésus, rempli de l’Esprit de Dieu, est conduit dans le désert pour être tenté par le diable. Jésus est le Fils de l’homme, saint, sans péché, parfaitement dévoué à la volonté du Père, rempli de l’Esprit, et conduit avec sureté par l’Esprit, dans le but précis d’être tenté par le diable. Dieu est derrière tout cela, à la fois pour prouver la perfection morale intangible du Seigneur Jésus en face des tentations les plus subtiles du diable, et pour mettre au jour la futilité absolue des efforts de Satan contre Lui. Était-il possible que le diable trouve un moyen pour le vaincre ? —Absolument pas ! Était-il possible que le Seigneur de gloire béni puisse faillir, devant la mise à l’épreuve la plus dure ? — Absolument pas ! Cela avait été réglé par l’approbation du Père donnée avant. Se pouvait-il que le Père se soit trompé ? — Jamais !

Considérez le contraste, ici, entre Adam et le Seigneur Jésus. Adam était dans un environnement de beauté et d’abondance dans le jardin d’Éden. Il ne lui manquait rien, et pourtant il a péché. Christ était dans un lieu désolé, et, n’ayant rien mangé depuis quarante jours, Il avait faim. Et cependant les tentations du diable ne rencontrent pas, chez le Seigneur, la moindre tendance à céder, que ces tentations concernent l’orgueil de prouver qui Il est ; qu’elles se rapportent à Ses besoins physiques ; ou à la convoitise humaine pour la richesse et le pouvoir ; ou qu’elles s’appliquent au simple désir de faire impression sur les hommes.

La réponse du Seigneur Jésus, dans tous les cas, c’était l’Ecriture appliquée au cas précis. Il vivait de la Parole de Dieu, ne s’en écartant jamais dans le moindre détail. Merveilleux Fils de Dieu !

Il est clair que Luc nous donne les tentations dans l’ordre moral, et non dans l’ordre historique : en premier lieu nous avons la tentation charnelle ; ensuite, une tentation mondaine et enfin une tentation spirituelle. La première tentation avait clairement pour but de s’adresser à la convoitise de la chair, la deuxième à la convoitise des yeux et la troisième à l’orgueil de la vie. Mais notre Seigneur est étranger à toute convoitise, à tout orgueil : ces trois épreuves ne servent qu’à révéler Son absolue perfection.

Les tentations se rapportent aux trois genres de convoitises par lesquelles le premier Adam a succombé. Nous lisons en Genèse 3:6 : « Et la femme vit 1° que l’arbre était bon à manger, 2° qu’il était un plaisir pour les yeux, 3° et que l’arbre était désirable pour rendre intelligent ». À ce passage correspond celui de 1 Jean 2:16 : « Tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, et la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, n’est pas du Père, mais est du monde ». On reconnaît facilement le caractère de ces trois genres de convoitises dans ce que le diable place devant Jésus.

La première attaque de l’Ennemi est l’occasion pour Jésus de rappeler cette vérité fondamentale : l’homme a une âme qui a besoin d’aliment, c’est la Parole de Dieu dont se nourrit l’être intérieur. En réponse à la première tentation, le Seigneur Jésus, véritablement Homme, prend la place propre à l’homme, de dépendance complète envers Dieu. La vie naturelle de l’homme dépend du pain qu’il s’assimile, parallèlement sa vie spirituelle dépend de la Parole de Dieu qu’il s’assimile et à laquelle il obéit.

Puis à cet homme parfaitement dépendant, Satan offre à la fois tous les royaumes du monde et leur gloire. Combien ont vendu leur âme pour infiniment moins ! Le monde fait en effet partie de l’héritage destiné au Seigneur Jésus, que le diable le veuille ou non ! Mais que ce soit la terre entière ou un simple morceau de pain, Christ ne voulait rien recevoir sinon de la main de son Père (Ps. 2 v. 8). À la deuxième tentation, le Seigneur répond par son entière obéissance et consécration à Dieu. Puissance, gloire, domination en elles-mêmes ne sont rien pour Lui. Il n’a qu’un but : adorer et servir Dieu.

Alors Satan insinue pour la seconde fois : «Si tu es Fils de Dieu…» (v. 3 et 9), comme si la chose était à prouver. C’était mettre en doute ce que le Père venait de proclamer solennellement (ch. 3 v. 22), autrement dit tenter Dieu. Car tenter Dieu, c’est mettre en doute ce qu’Il dit et du coup, lui demander des preuves et des signes qui corroborent ce qu’Il dit ! Or quand on croit, on n’a pas besoin de preuve ! Le contraire montre combien notre foi est faible, combien notre confiance est fragile… Le Seigneur fait face à la troisième tentation — où Satan L’incite à mettre la fidélité de Dieu à l’épreuve — par Sa confiance inébranlable en Dieu. Le grand adversaire ne trouve aucune prise pour L’attaquer. Le Seigneur se confie en Dieu sans avoir à Le mettre à l’épreuve.

Jésus n’aurait pas pu être un modèle pour nous s’Il avait vaincu le diable en vertu de sa puissance divine. Mais Il triomphe – et c’est ce qui est remarquable – par les armes à la disposition de l’homme : une dépendance entière de Dieu, une obéissance absolue à Sa Parole et une confiance inébranlable en Ses promesses. Ces trois caractères exposés ainsi d’une manière si marquante — dépendance, obéissance/consécration, confiance — sont ceux qui distinguent l’Homme parfait.

Ce texte nous montre le combat entre l’Homme et Satan, on y assiste à la victoire écrasante de Jésus qui par là nous redonne, à chacun, le titre perdu d’homme véritable, comme en Eden avant la chute, l’homme comme fils de Dieu. Ainsi nous pouvons être dans la vraie paix qu’Il nous a acquise.

Cela nous parle du caractère de la bénédiction que nous, pécheurs, obtenons de la main du Fils de Dieu. Cette bénédiction est pour nous comme le butin de la victoire. Par le péché nous avons été déchus de toute la bénédiction de la création. Elle était autrefois nôtre en Éden, mais nous l’avons perdue, et maintenant toute bénédiction est le fruit de la victoire de Jésus. Notre cœur peut en jouir avec assurance car, en Christ, nous possédons réellement cette bénédiction. Celui qui bénit s’est qualifié lui-même pour bénir, car il a gagné la bénédiction avant de la conférer. Par conséquent nous connaissons notre droit à être bénis par Jésus, aussi sûrement qu’Adam connaissait le sien à être heureux en Éden. C’est là le caractère de la bénédiction que le Seigneur nous donne à nous pécheurs. Rempli de l’Esprit Saint (v. 1), il affronte le combat avec le diable pour lui résister, et le défaire ; ensuite, plein du même Esprit, il rencontre des pécheurs pour les bénir, les guérir et les sauver. Et, depuis ce jour de victoire dans le désert, il a rencontré au Calvaire celui qui avait le pouvoir de la mort, et là, par sa mort, il l’a détruit. Il s’est avancé en résurrection pour partager de nouveau les dépouilles de l’Ennemi avec tous les pécheurs du monde ; et, le cœur plein de certitude, nous contemplons ces glorieuses bénédictions et nous en profitons.

Mais où est le pécheur pour apprécier la bénédiction et pour se parer lui-même des dépouilles conquises par le Fils de Dieu ? Là est la question, la seule question dorénavant. L’homme ne fait pas attention aux bénédictions, et ne s’occupe pas d’une victoire dans laquelle le dieu de ce siècle a été jugé, ni du butin de cette victoire.

L’homme n’a pas attendu aujourd’hui pour vendre cette bénédiction pour trente pièces d’argent, et même pour un potage de lentilles.

Mais ce chapitre nous montre aussi que l’amour du Fils de Dieu ne pouvait ni se lasser ni s’épuiser. Son amour était au-dessus de tout refus comme, depuis, il s’est montré plus fort que la mort. « L’amour ne périt jamais ».

Tel est le chapitre qui, dans l’évangile de Luc, introduit le ministère du Fils de Dieu. Et, comme dans cet évangile son action s’exerce spécialement à l’égard de l’homme, nous avons ici une manifestation frappante de ce qu’est l’homme.

Avant d’aller plus loin, examinons les conséquences pratiques qui découlent pour nous de la victoire remportée par Jésus sur Satan au désert. Tout d’abord, et surtout, nous pouvons, nous aussi, avoir la victoire sur les tentations de Satan, en employant le même moyen que Jésus, en étant soumis à la Parole de Dieu. L’ennemi veut avant tout empêcher le croyant d’obéir, parce que la désobéissance le prive de la communion avec Dieu, le détourne de la vérité, déshonore Dieu et, produisant de l’obscurité dans l’âme, l’égare toujours plus.

Quel encouragement pour nous tous, jeunes et vieux, de savoir que, malgré la présence et l’activité d’un si puissant adversaire sur notre route, nous pouvons avancer sans qu’il nous atteigne, à la condition d’écouter la Parole de Dieu et de lui obéir ! Lorsque Satan rencontre en nous cette obéissance, il se retire comme il a dû se retirer de devant Jésus. « Résistez au diable, et il s’enfuira de vous », dit Jacques (chap. 4 : 7). En 1 Pierre 5 : 8, 9, nous lisons : « Soyez sobres, veillez : votre adversaire, le diable, comme un lion rugissant, rôde autour de vous, cherchant qui il pourra dévorer. Résistez-lui, étant fermes dans la foi ». Nous ne pourrions lui résister si le Seigneur Jésus ne l’avait pas vaincu ; mais si, en présence de l’obéissance, Satan subit une défaite, il faut se souvenir qu’il a tout pouvoir sur la chair, en sorte que, si nous la laissons agir, si nous péchons, nous lui offrons une prise facile.

De la tentation de Jésus découle une importante vérité, à laquelle nous avons à prêter attention. Pour pouvoir obéir à la Parole et la citer, il faut la connaître. Il faut la lire dès son jeune âge. C’est là la véritable instruction sans laquelle tout autre enseignement n’offre aucun profit pour l’éternité. Un manuel d’instruction publique du 18° siècle, à l’usage des instituteurs, déclare que l’enseignement de la Bible doit être à la base de toutes les branches d’étude, car tout le reste en découle. Hélas ! tout en prétendant avoir fait des progrès, on a fort reculé depuis ce temps-là ! Si la Parole de Dieu ne fait plus partie de l’enseignement public, elle se trouve dans toutes les familles, où l’on peut la lire chaque jour. Il faudrait non seulement se contenter de la lire, mais aussi, selon une ancienne coutume courante dans les écoles et les familles, en faire apprendre des portions aux enfants de tout âge. Ce qu’on apprend dans sa jeunesse demeure pour la vie ; c’est un capital qui porte de multiples intérêts, dont les bienfaits se répandent dans toute la carrière, à la gloire de Dieu, et pour le bonheur présent et éternel de celui qui possède un trésor pareil.

Ainsi avec ce texte sont mises en lumière trois des causes principales qui sont à l’origine du déclin et qui expliquent notre si grande faiblesse et tant de chutes.

Nourris de Christ

Notre âme a besoin d’un aliment, Christ pain de vie de « toute parole de Dieu » dont l’homme céleste est appelé à vivre. S’il y a si peu de manifestations de la vie, si peu de vie en nous, c’est, en premier lieu, parce que nous nous nourrissons spirituellement de ce que nous devrions rejeter, tandis que nous laissons de côté ce qui nous est proposé par Dieu comme le seul vrai aliment de notre âme. Il nous faut rééquilibrer notre alimentation spirituelle, c’est ce nous propose le temps du Carême ; pas tant de changer notre alimentation physique, même si cela peut nous aider à aller plus loin, mais plutôt de jeûner de ce qui ne nourrit pas notre âme : cesser de se nourrir en quantité des choses du monde (télé, radio, musique, publicité, pensées, etc.) et se nourrir davantage des choses de Dieu (prière, louange, Ecriture Sainte, etc.).

Nul ne peut servir deux maîtres

« Nul ne peut servir deux maîtres ». Au lieu de le servir « Lui seul », notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, nous servons si souvent le Mammon qui nous présente, en figure, les richesses, tout ce que le monde peut offrir dans son apparente prospérité. Et tout cela, pour avoir « cette autorité et la gloire de ces royaumes », une place, un nom, un titre, une position dans le monde dont Satan est le prince ! Le danger n’est pas tant de nous trouver dans telle ou telle position, si le Seigneur nous y a réellement placés — Il peut alors garder fidèles ceux qui y sont, et faire qu’ils sachent beaucoup mieux que d’autres ce que c’est que de réaliser la séparation d’avec le monde, bien qu’étant dans le monde. Le danger est dans la recherche de ces choses ; il est particulièrement grand quand nous ne les possédons pas et que l’ennemi les place devant nous, essayant ainsi de nous tenter.

Parole de Dieu appliquée correctement, par l’Esprit

Au lieu de nous servir de la Parole dans la dépendance de l’Esprit, qui seul peut nous donner la pensée de Dieu, nous nous arrêtons parfois à une parole de Dieu, dont nous faisons une fausse application parce que nous la considérons à part du reste de la Révélation. Chose plus grave encore, nous nous servons parfois d’une telle parole pour essayer de justifier une conduite — égarement doctrinal ou moral — dont il est manifeste qu’elle n’est pas selon les enseignements de la Parole de Dieu. Prétendant obéir à Dieu, nous sommes, sans nous en douter la plupart du temps, le jouet de l’adversaire dont les ruses nous prennent si souvent en défaut. Satan présente ce qui n’a aucune apparence de mal. Le mal serait, pour quelqu’un, de faire sa propre volonté. Or ce qui résout toute difficulté, c’est de se demander non pas : quel mal y a-t-il à faire ceci ou cela ? mais : pourquoi est-ce que je fais ceci ou cela ? Est-ce pour Dieu ou pour moi-même ?

Voilà les vrais dangers : ne pas nous nourrir spirituellement de manière correcte mais croire qu’on le fait, puisqu’on est chrétiens quand même, puisqu’on connaît et même qu’on cite parfois la Parole de Dieu. Alors on se dit que quelques concessions ne sont pas bien graves, que mélanger Dieu et le monde ça peut marcher ! Mais non ! Rappelons-nous les trois attitudes qui s’opposent à ces dangers et qui sont celles de Christ : dépendance, obéissance et confiance.

Que le sentiment de notre extrême faiblesse et des dangers que nous courons, nous conduise à nous « fortifier dans le Seigneur et dans la puissance de sa force », à nous « revêtir de l’armure complète de Dieu », afin d’être rendus capables de « tenir ferme contre les artifices du diable » dans la lutte incessante que nous avons à mener contre « la puissance spirituelle de méchanceté qui est dans les lieux célestes » ! Pour cela regardons à Celui qui est, tout à la fois, dans cette lutte, notre Modèle parfait et notre secours, « car en ce qu’il a souffert lui-même, étant tenté, il est à même de secourir ceux qui sont tentés » (Héb. 2:18).

Le secret de la force, c’est, dans une grande mesure, d’avoir la Parole de Dieu cachée dans son cœur, et de lui obéir sans réserve. Comme le dit le cantique : « la force est en Christ ».

Lorsque je serai dans les difficultés, pensez-vous que l’Esprit de Dieu pourra m’aider en me remémorant un verset que je n’ai pas d’abord mis en réserve dans mon cœur ? Non. Je crois que si j’ai été négligent, paresseux dans la lecture de la Parole de Dieu, cette Parole ne sera pas véritablement cachée dans mon cœur. L’Esprit de Dieu ne peut pas me rappeler un verset que je n’ai jamais lu ! Chers amis, permettez-moi d’insister sur le fait que nous ne saurions surestimer l’importance d’avoir notre esprit rempli de versets de l’Écriture !

Que le Seigneur mette tout à nouveau dans notre cœur le désir de Le connaître ; de lire, méditer et repasser sa Parole. Qu’ainsi nous soyons fortifiés et enracinés en Lui, afin de tenir fermes face au Malin. Méditons les paroles du psalmiste qui dit « j’aime ta parole Seigneur », « je la médite jour et nuit », « elle est continuellement dans mon cœur et sur mes lèvres », et tant d’autres passages ! Que ce soit aussi notre désir, notre attitude, notre vie ! Amen !

Pasteur C. BURY